Après le parc de l'Isalo nous avons continué notre route vers le Nord pour découvrir d'autres horizons, d'autres lieux, faire d'autres rencontres. A Betafo, capitale de la pétanque (et certainement d'autres choses !) c'est Saint Jean Baptiste, instituteur à la retraite rencontré au hasard d'un chemin, qui deviendra notre guide improvisé presque bénévolement. Rizières, cascades, tombeau royal...nous visitons en sa compagnie ses contrées verdoyantes en l'écoutant chanter en Français des chansons d'amour en de sa composition :-)
Pour notre dernière semaine c'est accompagné d'un guide que nous sommes partis pour un périple de 6 jours avec un programme prometteur. Et nous ne serons pas déçus ! Avec trois autres joyeux compagnons (Léon, Thomas et Naxio un Basque) nous avons descendu le fleuve Tsihiribina en pirogue, vécu des bivouacs magnifiques sur ses plages, dansé autour du feu sous les étoiles au rythme des guitares à l'africaine, traversé des forêts de pierre dans les Tsingy, des forêts de baobabs, pris une douche au lever du jour sous une cascade paradisiaque ou encore fait une baignade dans le fleuve boueux aux crocodiles lointains...
Beaucoup de choses magnifiques de vécues et des souvenirs inoubliables.
Mais tout n'est pas idyllique et les rencontres d'enfants rachitiques dans certains villages retirés nous rappelle que si le pays est riche de beaucoup de choses, la population ne l'ai pas ou n'en bénéficie pas. Comment les aider si ce n'est dans un premier temps de leur laisser quelques vêtements et nourriture que nous avons avec nous ? Tous les sourires d'enfants que nous avons pu voir donnent de l'espoir pour l'avenir et il ne faut pas les abandonner en évitant d'aller dans ce pays. Le tourisme peut être une source de revenus pour la population locale alors ne les abandonnons pas et continuons d'aller à leur rencontre. Allez-y vous ne serez pas déçu !
Pour notre dernière semaine c'est accompagné d'un guide que nous sommes partis pour un périple de 6 jours avec un programme prometteur. Et nous ne serons pas déçus ! Avec trois autres joyeux compagnons (Léon, Thomas et Naxio un Basque) nous avons descendu le fleuve Tsihiribina en pirogue, vécu des bivouacs magnifiques sur ses plages, dansé autour du feu sous les étoiles au rythme des guitares à l'africaine, traversé des forêts de pierre dans les Tsingy, des forêts de baobabs, pris une douche au lever du jour sous une cascade paradisiaque ou encore fait une baignade dans le fleuve boueux aux crocodiles lointains...
Beaucoup de choses magnifiques de vécues et des souvenirs inoubliables.
Mais tout n'est pas idyllique et les rencontres d'enfants rachitiques dans certains villages retirés nous rappelle que si le pays est riche de beaucoup de choses, la population ne l'ai pas ou n'en bénéficie pas. Comment les aider si ce n'est dans un premier temps de leur laisser quelques vêtements et nourriture que nous avons avec nous ? Tous les sourires d'enfants que nous avons pu voir donnent de l'espoir pour l'avenir et il ne faut pas les abandonner en évitant d'aller dans ce pays. Le tourisme peut être une source de revenus pour la population locale alors ne les abandonnons pas et continuons d'aller à leur rencontre. Allez-y vous ne serez pas déçu !
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