Observer les oiseaux sur les Icebergs ou à quelques mètres d'eux sur les falaises a vraiment été des moments magiques.
mercredi 31 août 2016
dimanche 28 août 2016
États-Unis, les grands parcs !
Si il y avait des photos à retenir de cette première partie de voyage aux États-Unis ce serait celles-ci avec :
Los Angeles, RAS. C'est presque plat à part la colline d'Hollywood, c'est énorme, une plage monotone à n'en plus finir, une ville quadrillée par des kilomètres de boulevards. Peut-être que Beverly Hills, quand on est millionnaire ou milliardaire à quelques intérêts mais je n'en suis même pas certain. Isolés dans leur "château" en or c'est un peu une prison pour eux, mais on ne va pas les plaindre non plus !
Grand canyon : cela commence à être intéressant ! C'est beau, profond, immense. Tellement immense que l'on ne se rend pas compte des dimensions et distances ! Je n'avais qu'une envie c'est me "jeter" dans ce vide pour descendre au fond de ce canyon et parcourir ce dédale creusé pendant des millions d'années par une rivière. Et me sentir au fond tout petit et écrasé par cette puissance de la nature.
Monument Valley : ici encore tout est démesuré, la couleur des roches, les formes, la hauteur des "monuments" isolés, mais c'est surtout cette impression d'être au milieu d'un paysage de western qui prévaut. On a envie de prendre son cheval et partir au galop cheveux au vent. Les indiens Navajo qui ont récupéré et gèrent leurs terres maintenant l'ont bien compris. Balade à cheval possible et surtout pause photographique pour 5$ la minute assis sur un cheval au "Wayne point". Pour les petits jeunes l'acteur John Wayne est le cowboy le plus connu des westerns d'Hollywood. Il y a une scène mythique sur son cheval à cet endroit.
Antelope Canyon : pour une fois je ne dirais pas que ce paysage est démesuré. C'est un canyon minuscule. Mais pénétrer dans ce canyon c'est rentrer dans un monde de couleurs, presque monochrome mais avec des nuances à l'infini. C'est rentrer dans un monde de courbes à l'infini, douces, que le soleil vient éclairer, modifier, embellir, caresser... Un pur bonheur pour les yeux.
Un court passage au dessus du Colorado et sa couleur verte qui tranche avec le rouge du canyon puis nous avons découvert Bryce Canyon :
encore un paysage improbable. Que dire ? Un labyrinthe creusé par l'érosion, au milieu une forêt improbable au milieu de cet univers minéral et un colibri improbable aussi qui plonge dans le nectar des fleurs.
Au États-Unis il y a beaucoup de choses improbables mais elles existent, pour le meilleur comme pour le pire. Heureusement on a souvent vu le meilleur !
Los Angeles, RAS. C'est presque plat à part la colline d'Hollywood, c'est énorme, une plage monotone à n'en plus finir, une ville quadrillée par des kilomètres de boulevards. Peut-être que Beverly Hills, quand on est millionnaire ou milliardaire à quelques intérêts mais je n'en suis même pas certain. Isolés dans leur "château" en or c'est un peu une prison pour eux, mais on ne va pas les plaindre non plus !
Grand canyon : cela commence à être intéressant ! C'est beau, profond, immense. Tellement immense que l'on ne se rend pas compte des dimensions et distances ! Je n'avais qu'une envie c'est me "jeter" dans ce vide pour descendre au fond de ce canyon et parcourir ce dédale creusé pendant des millions d'années par une rivière. Et me sentir au fond tout petit et écrasé par cette puissance de la nature.
Monument Valley : ici encore tout est démesuré, la couleur des roches, les formes, la hauteur des "monuments" isolés, mais c'est surtout cette impression d'être au milieu d'un paysage de western qui prévaut. On a envie de prendre son cheval et partir au galop cheveux au vent. Les indiens Navajo qui ont récupéré et gèrent leurs terres maintenant l'ont bien compris. Balade à cheval possible et surtout pause photographique pour 5$ la minute assis sur un cheval au "Wayne point". Pour les petits jeunes l'acteur John Wayne est le cowboy le plus connu des westerns d'Hollywood. Il y a une scène mythique sur son cheval à cet endroit.
Antelope Canyon : pour une fois je ne dirais pas que ce paysage est démesuré. C'est un canyon minuscule. Mais pénétrer dans ce canyon c'est rentrer dans un monde de couleurs, presque monochrome mais avec des nuances à l'infini. C'est rentrer dans un monde de courbes à l'infini, douces, que le soleil vient éclairer, modifier, embellir, caresser... Un pur bonheur pour les yeux.
Un court passage au dessus du Colorado et sa couleur verte qui tranche avec le rouge du canyon puis nous avons découvert Bryce Canyon :
encore un paysage improbable. Que dire ? Un labyrinthe creusé par l'érosion, au milieu une forêt improbable au milieu de cet univers minéral et un colibri improbable aussi qui plonge dans le nectar des fleurs.
Au États-Unis il y a beaucoup de choses improbables mais elles existent, pour le meilleur comme pour le pire. Heureusement on a souvent vu le meilleur !
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